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bye bye la masturbation
L’autre jour. je me suis rendu compte que mon plaisir avait changé. J’ai attendu pour être sûre de moi avant d’écrire.
Voilà, je n’éprouve plus l’envie de me masturber. Vous savez, cette envie quand vous êtes excitée, de prendre votre sexe droit dans la main et de le branler vigoureusement jusqu’à éjaculation.
Je me suis rendu compte depuis quelques temps que je n’avais plus cette envie. Quand je suis excitée, c’est d’anal que j’ai envie, et de wand sur ma cage, mais pas de branlette.
C’est venu petit à petit, je pense. J’avais bien noté que je bandais plus difficilement quand j’étais en sissy. Les dernières fois que j’ai éjaculé ainsi, très rapidement bien sûr, mon sexe n’était même pas droit totalement. Hier, Maitresse m’a ordonné d’effacer son prénom que j’avais tatoué au marqueur sur ma nouille en me branlant. Le prénom était depuis longtemps effacé que je bandais à peine et je n’ai pas joui. Je ne dirai pas que ca me dégoute de le faire, je n’en suis pas encore là, mais ca ne m’intéresse plus. Pourtant, avant d’être soumise à Maitresse, j’avoue, je le faisais assez souvent, excitée que j’étais par les comics ou récits bdsm et de féminisation.
Mais voilà, depuis, je suis devenue une sissy, et je suis aussi en cage les 3/4 du temps. Plus que la cage, c’est la sissification, l’éducation de Maitresse qui a du me changer, je pense. Le plaisir a changé de nature. Quand je suis décagée, je ne prends jamais mon sexe en main sans ordre. Par contre, je me retiens de prendre un gode, car j’adore cette jouissance d’être prise, sentir le sperme monter dans le sexe serré dans sa cage, et avoir ces petites éjaculations en poussant des gémissements. Je n’ai plus envie d’avoir un plaisir dit “masculin” dans ces moments. je veux jouir comme une sissy, en cage, en étant prise ou avec le wand! Ce superbe jouet qui dès qu’il est posé sur la cage et vibre , hummmmm
Mais je ne suis pas sissy tout le temps. Je suis aussi un homme marié. Et c‘est là que le cerveau est magnifique. Il fait la distinction entre être sissy et être mari. Autant je ne bande plus en tant que sissy, autant je suis en érection en tant que mari.
Malgré cela, la nature des rapports a changé. J’ai besoin de sentir son envie et son plaisir pour pouvoir bander. Et jouir n’est plus une obligation, la frustration faisant partie de ma vie de soumis. Le plaisir de ma femme est prioritaire par rapport au mien.
Je pense que l’éducation de Maitresse a beaucoup joué pour ces évolutions. Le sentiment de lui appartenir présent en permanence et la découverte d’autres sources de plaisir sous ses ordres. Et ainsi, je peux ne plus avoir envie de me masturber, mais prendre du plaisir en tant que sissy ainsi qu’en tant mari, de manière différentes mais dans les deux cas, soumis aux désirs de ces Dames.
Et vous quelles sont vos expériences ?
Sissy Sabrina
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La cage de chasteté dans le couple
Bonjour, ici Sissy Sabrina pour vous parler de l’évolution de la place de la cage de chasteté dans ma vie de Sissy marié et appartenant à Maîtresse Anna.
Le premier accessoire que Maitresse m’a fait acheter, c’est une cage de chasteté.Pendant 2 ans, je l’ai porté tous les jours au travail et parfois, je la gardais le soir, mais rarement. Car étant marié, c’était un peu risqué, puisque ma femme n’était pas au courant.
Un jour, je l’avais mal rangé, caché dans mon tiroir ou se mélange boxers masculins et strings féminins. Mon épouse voulait prendre un string dans mon tiroir, elle sait que je porte port des strings et sans le valider complétement, elle l’accepte, et fouillant dans mon tiroir, trouve la cage.
Quand j’arrive à la maison, je dois expliquer ce que c’est. Il faut savoir que ma femme connait mon penchant à être soumis. On a joué ensemble à un moment, mais je vous raconterai cela dans un autre article. Nos anciennes discussions m’ont grandement aidé, car j’avais déjà parlé de cage de chasteté auparavant.
À force de discussion, j’ai expliqué mon plaisir à être frustré, et à ne devoir bander que sur commande.
Je suis encore passé pour un “pervers”, mais je lui ai laissé le choix de me la faire porter ou d’arrêter. Et finalement, elle a accepté que je porte la cage même si elle ne voyait pas forcément le plaisir que j’y prends.Petit à petit, je l’ai porté de plus en plus, en journée, la nuit, l’ôtant quand elle le demandait, ou parfois de moi-même, pour montrer que je pouvais m’en passer.
Quand j’ai voulu faire le locktober l’année dernière, ça a été problématique. J’ai compris que vouloir rester en cage tout un mois, pouvait passer pour un rejet de l’acte sexuel pour ma femme… donc un rejet de lui faire l’amour. Du coup, je n’essaie plus malgré toute l’envie de participer à cet événement d’encager.
Nous avons trouvé un rythme. Madame en est venue à me demander de toujours l’avoir quand je quitte la maison sans elle. À un moment, elle a accepté que je la garde tout le temps, sauf quand elle a envie de mon sexe. J’ai été en vacances avec, à la plage, chez des amis, en soirée, en boite de nuit. Et dans ces moments, elle veut que je l’ai. Savoir dans les soirées que son mari, même s’il discute ou danse avec une autre, est en cage et qu’elle a les clés dans son sac à mains, lui procure un sentiment de contrôle qu’elle aime beaucoup, m’a-t-elle dit. On en a joué, fait des blagues, rit. Tout pour que ce soit cool d’avoir un mari en cage.
Mais je fais attention, car il y a toujours ce sentiment qui revient parfois que je rejette l’acte avec elle en portant la cage. Ce qui n’est pas le cas...
Voilà, cette cage, introduite par Maitresse, est toujours là pour Maitresse, mais est maintenant gérée principalement par Madame.
Je la porte le maximum de temps, mais je fais attention à ce qu’elle ne soit pas une contrainte ou une charge pour elle.
Toujours rester dans le jeu. Un jeu sérieux, mais sans prise de tête, sans imposer mes envies, évoluant à son rythme.
Cela demande de la patience, de l’imagination, et beaucoup d’amour.
Sissy Sabrina
LE MOT DE LA MAITRESSE
Merci Sissy Sabrina pour cet article qui partage avec nous un peu de ta vie maritale et qui montre à tous qu’elle est compatible avec une vie de Sissy Soumise à mes pieds.
Maîtresse Anna -
Rêve, fantasme ou future réalité ?
Un petit texte sorti de mon imagination.
Toute ressemblance avec des personnages réelles n’est pas fortuite.
Sabrina aimait bien son boulot de secrétaire particulière.
Aujourd’hui, elle “travaillait” l’après-midi. Au volant de sa Tesla blanche, elle se gara derrière la maison. En sortant, elle nota qu’il faudrait qu’elle revienne demain pour ramasser les feuilles mortes qui commençaient à tomber. Cela ferait une excellente couverture végétale pour le potager qu’elle faisait pour Maîtresse dans le fond de la propriété. Elle avait suivie une formation en permaculture l’année dernière sur demande de Maîtresse qui voulait des légumes bio et à disposition pour toutes sortes d’usage.
Entrant dans la maison, elle alla directement se changer dans la salle de bain. Aujourd’hui Maîtresse voulait expressément cette tenue de soubrette en vichy rose qu’Elle aimait tant. “Elle me va encore” sourit Sabrina en la mettant. La perruque ajustée, elle se maquilla. Sa palette de maquillage s’était grandement étoffée depuis cette époque ou elle faisait cela chez elle. Elle sourit en repensant à ce démaquillant qui n’en était pas un et qui lui faisait les yeux d’un lapin atteint de la myxomatose. Elle se fit ensuite les ongles. Ce sera rose avec des dessins vichy blanc dessus. Elle avait vu cela il y a quelques jours sur Twitter. ça donnait vraiment bien.
Hop voilà, toute prête. Vite une photo en faisant la révérence pour envoyer à Maîtresse. Un message arrive dans la foulée “Sympa tes ongles Sabrina, n’oublie pas de préparer le donjon pour dans 2 heures”. Sabrina adorait préparer le donjon. Nettoyage partout, le sol, les meubles, les godes et divers ustensiles, faire briller cuir et latex, mettre en avant certains jouets plus que d’autres selon les soumis qui venaient. C’est fini, elle vérifie une dernière fois; comme Maîtresse était perfectionniste, à force et pour pouvoir la satisfaire au mieux, elle l’était devenue aussi, malgré que ce n’était pas sa qualité première.
Ses talons claquèrent quand elle alla à son bureau pour trier les mails que recevait Maîtresse. Elle avait convaincu Maîtresse de lui laisser faire cela, pour ne pas qu’elle soit embêter par tous les “haters”. C’est elle qui filtrait toutes les menaces, messages nuls ou grossiers. Elles avaient beaucoup discuté sur ce sujet et regarder ensemble pour savoir quoi laisser passer et quoi jeter. Ensuite, Sabrina répondait à différentes sollicitations que Maîtresse recevait, prenant des notes pour lui donner toutes les informations quand elle arriverait.
Elle nota que la deuxième Maîtresse du donjon voulait qu’on recommande des godes dragons, et Maîtresse Anna, son gode licorne préféré. Elle fit la commande. En passant, elle vérifia dans le frigo qu’il y avait du champagne, du Ruinard blanc de blanc, le seul que Maîtresse prenait. C’est bon. Elle lança une machine de serviette, et retourna au bureau pour s’occuper de l’espace Sabrina.
Parce qu’elle avait beaucoup de followers, elle aussi. Son compte Mym créé sur demande de Maîtresse il y a trois ans et ses activités de camgirl lui rapportait une petite somme maintenant qui complétait bien sa semi retraite. Le fait de faire des photos et vidéos dans le donjon avait boosté ses abonnés. Il y en avait même qui voulait être dominé par “maîtresse Sabrina, la sissy dominatrice” après qu’elle ait posté des photos en tenue latex, talons hauts et cravache à la main. Elle ne savait pas trop s’y prendre avec eux, mais Maîtresse la conseillait sur le sujet. Elle répondit à plusieurs, posta un article qu’elle avait préparée, et retoucha quelques photos qu’elle avait prise il y a deux jours. Elle les montrerai à Maîtresse tout à l’heure.
Presque deux heures de passés. Elle s’accorde une petite pause et pris un café sur la terrasse dehors. Ce qu’elle appréciait de pouvoir sortir dans cette tenue ! Et sans risque, chaque personne qui entre ici connait Sabrina, la sissy secrétaire soubrette de Maîtresse Anna. “Il faudra que je cueille les dernières courgettes, elles sont juste à la bonne taille” se dit-elle en regardant le jardin.
Le Hush vibra dans son cul. Maîtresse s’était amusée à créer des codes de vibrations. Celui-ci, c’était pour “j’arrive”
Elle alla rapidement dans l’entrée, et dès que la porte s’ouvrit, elle fit sa révérence. Elle se précipita ensuite pour baiser les pieds de Maîtresse. C’était son rituel, elle l’avait demandé à Maîtresse, en souvenir de ce temps ou ce ne pouvait être que virtuel. Après lui avoir enlevé son manteau, elle lui fit tout le compte-rendu du secrétariat, Maîtresse évoluant dans le donjon et vérifiant que tout était à sa convenance. Tout était bien comme d’habitude. Parfois, Maîtresse faisait exprès de dire que quelque chose n’allait pas pour la taquiner.
Elles papotèrent pendant que Maîtresse se préparait derrière le paravent de la pièce, Sabrina à genoux comme à son habitude de l’autre coté. C’était toujours un moment privilégiée pour Sabrina, cet instant de discussion.
Maîtresse prête, Elle sortit de derrière le paravent, et comme à chaque fois, Sabrina était sous le charme. “Vous êtes magnifique Maîtresse,” bredouilla t’elle.
Un sourire sur les lèvres, Maîtresse la remercia et ajouta “chaussures Sabrina”.
Elle se précipita pour mettre les escarpins à Maitresse .
“Prends la position Sabrina” ordonna Maîtresse ensuite. Aussitôt, Sabrina se cambra autant qu’elle pouvait, collant la joue au sol aux pieds de Maîtresse. Elle aimait être ainsi, à ses pieds, à sa merci…….
A suivre
Sabrina
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Sabrina a un nouveau jouet
Bonjour,
J’ai acheté il y a quelques semaines ce plug, le Hush 2 de Lovense et je voulais vous livrer une petite analyse. Dites-moi en commentaire ce que vous en pensez.
D’abord l’aspect. Perso, j’aime beaucoup sa forme, Il est assez gros ( j’ai pris le modèle qui fait 4,4cm, le M) mais a une forme très effilée, je trouve. La matière est douce, et assez agréable au toucher.
Son insertion : un peu de lubrifiant, et il rentre comme une fleur. Une fois installé, c’est comme s’il avait toujours été là. On ne le sent pas. Sa base fine ne gène absolument pas et permet le maintien en toute circonstance. Cela reste très discret sous les vêtements.
Je l’ai porté à la maison, au travail, en voiture. Franchement, aucun soucis.
C’est vraiment un très bon plug, pour ceux qui veulent en porter un pendant plusieurs heures. Si vous me suivez sur Twitter, vous savez que je le porte parfois des journées entières.
La mise en marche est facile. Je l’ai connecté avec le programme LOVENSE REMOTE.
Il y a plusieurs façon de jouer avec.
D’abord seul.
Vous pouvez l’utiliser avec des modèles existants, ou que vous téléchargez, ou que vous créez vous-même.
Vous pouvez l’utiliser avec la télécommande. Là, c’est vous qui pilotez les vibrations.
Avec des fichiers musicaux, il faut essayer avec vos morceaux favoris.
Avec des fichiers audio. Comme par exemple, un fichier audio que votre Maitresse adorée aurait fait. Vous vibrez au son de sa voix.
Avec le son, c’est pas mal aussi. Cela vibre avec le son de la pièce dans laquelle vous êtes. On peut imaginer le mettre en étant en boite de nuit, dans un pub. Je l’ai utilisé ainsi en réunion en télétravail.
Il y a aussi les alarmes que vous pouvez programmer. Pour vous rappeler un rendez-vous important (avec votre Maîtresse 🙂 ) ou pour vous réveiller le matin! Plutôt qu’un bruyant radio-réveil, que pensez-vous d’une vibration dans votre fondement ?
Et les vibrations me direz-vous ? Elles font effet ? Là, c’est chacun qui verra selon son ressenti. Pour ma part, j’ai beaucoup aimé les vibrations et l’intensité. Je le ressens beaucoup mieux en position assise sur une chaise qu’à quatre pattes.
L’utilisation que je préfère, c’est quand ce n’est pas moi qui pilote.
Une première utilisation, c’est de donner le contrôle à votre Maîtresse.
La première fois, c’était à un moment bien prévu. Maîtresse a piloté le Hush pendant que je lui racontais toutes mes sensations dans le chat qui permet de discuter comme sur Whatsapp ou une autre application. on peut aussi envoyer des photos ou même des vidéos.
Maintenant, je prends le Hush le matin à sa demande, je le connecte et après j’attends. Soit Maîtresse le fait vibrer, soit elle ne le fait pas. C’est son choix.
J’adore cette variante. Parce que je ne maîtrise rien, que c’est Maîtresse qui décide si elle s’en sert ou pas, le temps de vibration, l’intensité, etc.
J’ai aussi vu que Maîtresse pouvait envoyer des alarmes, qu’on peut se connecter avec la voix et d’autres fonctionnalités. Il y a encore une foule de possibilités à explorer et à faire travailler son imagination pour les utiliser au mieux.
Une autre utilisation que j’ai découvert il y a peu, c’est l’envoi de lien.
Vous envoyez par mail, ou par message un lien anonyme de contrôle de votre Hush. Celui qui reçoit le lien fait vibrer votre petit cul pendant le temps prédéfini. C’est aussi très excitant de se faire contrôler par un inconnu. Imaginez, je pourrais mettre le lien sur Twitter !
Je pense que c’est un jouet qui mérite le détour. J’aime beaucoup sa forme, sa facilité à le porter (là quand j’écris, ça fait 7 heures que je l’ai en moi, sans aucune gène), et toutes les possibilités de jeux qu’on peut faire avec.
Il me reste encore des fonctions à découvrir et comment le connecter à Cam4. J’aimerais beaucoup réagir aux vibrations devant l’écran 🙂
Je vous laisse, il vient de se mettre à vibrer. Merci Maîtresse.
Bises soumises.
Sabrina
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Est ce que Sabrina fait du hard ?
Bonjour,
Je réécoutais la première audio de Maitresse sur le Sissyseptember. Là où Maîtresse dit que j’ai fait des choses très hard. Après cette audio, j’ai demandé à Maîtresse, “Mais je fais des choses hard, Maîtresse ?”. En fait oui. Si j’y réfléchis bien, je fais maintenant des choses qui étaient tabous pour moi, et je me suis ouvert à des pratiques que jamais je n’avais envisagé.
C’est venu naturellement, jamais imposé, mais juste suggéré au moment opportun, quand Maîtresse jugeait que j’étais prête.
Camgirl par exemple. Jamais Maîtresse ne m’a dit au début tu seras camgirl. Elle ne m’en a parlé qu’au bout d’un an et demi. J’étais inquiète à cette idée au début. Quoi, se montrer en sissy devant des inconnus derrière leur caméra. Serais-je crédible ? Si on me reconnaissait ? Et devant des hommes, je suis hétéro quand même ?
Mais quand Maîtresse m’a dit qu’Elle me verrait bien l’être, qu’Elle me guiderait, et bien, je lui ai fait confiance, sûre qu’Elle savait avant moi ce dont j’étais capable. C’est une question de feeling, je pense. Du coup, j’ai essayé, toujours cette envie d’expérimenter et de faire plaisir à Maîtresse. Et j’ai adoré!
J’aime exciter, me montrer devant du public, les provoquer et voir que je leur fait de l’effet. J’ai fait une session l’autre jour, je me nourris et m’excite de leurs commentaires, de leur envie de se masturber en me regardant, pour être plus salope encore. Jamais je n’aurais imaginé pouvoir faire cela avant.
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C’est pareil pour le scato et l’uro, deux tabous que je ne voulais surtout pas faire. C’est venu naturellement, par de petites choses à faire, des défis que j’ai relevés. Et petit à petit, les défis ont été plus osés.
Longtemps après, je me suis sentie prête. Par là, je veux dire que maintenant, j’ai vaincu ces tabous. Je peux effectuer ces pratiques dès que Maîtresse me le demande, voir même les réclamer. Même si cela peut paraître rabaissant et très humiliant, je ne le vois pas comme cela. Ou plutôt même si je les vois comme cela, j’ai envie de les faire. C’est vraiment une histoire de confiance, d’envie de se donner pour sa Maîtresse.
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Enfin, je vous parlerai de l’électro. J’avais eu une mauvaise expérience. Une séance réelle ou une dominatrice me l’avais fait alors que j’avais expressément indiqué que je n’en voulais pas. Ce n’est pas que ce que j’ai subi était hard, mais quand vous êtes attaché et qu’on vous fait des pratiques non prévues, vous paniquez, la confiance est rompue. Je ne voulais plus entendre parler d’électro après cela.
Et maintenant ? j’ai investi dans une petite machine électro et sous les conseils de Maîtresse, j’expérimente les sensations que cela peut procurer, allant du plaisir à la douleur, mais toujours sous le contrôle de Maîtresse et sans stress. Et franchement, je vous conseille d’essayer, avec bien sûr les conseils de votre Maîtresse adorée.
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Donc, oui, j’ai fait des choses hard et briser des tabous et j’en briserais encore parce que j’ai confiance en Maîtresse Anna.
Je lui livre mes sensations, mes envies pour qu’Elle puisse juger de chaque pratique qu’Elle me fait expérimenter, qu’Elle me connaisse mieux que je me connais. Et je me donne, totalement, parce que j’aime jouer bien sûr mais surtout, parce que j’adore lui faire plaisir.
Je vous souhaite de belles expériences et de vous donner totalement en toute confiance, vous aussi.
A bientôt
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Ce que mon appartenance à Maîtresse a transformé dans ma vie
Bonjour. Cela fait trois années que je suis soumise à Maitresse Anna. Trois belles années qui ont changé ma vie, ma façon d’être tant en tant que soumis qu’en tant qu’homme dans ma vie vanille pour utiliser ce terme.
Quand on est soumis sans collier, on erre sur le net à la recherche d’une Maîtresse, ne sachant pas toujours vers laquelle se tourner. Il y a trois ans, j’étais à la recherche d’une soumission renforcée, je dirais. Je voulais sortir des séances réelles épisodiques et me tourner vers une soumission où je pourrais me sentir soumis chaque jour. Ma femme n’étant plus portée sur les jeux bdsm, (je vous raconterai cette expérience dans un autre article), je cherchais comment combiner vie maritale et soumission.
Le hasard des recherches m’a fait découvrir le site de Maîtresse Anna. J’ai lu avec attention tout ce qu’elle avait écrit sur son site. J’ai été séduit par Maîtresse, et sa conception de la domination. J’ai pris mon temps avant de la contacter, je ne voulais pas faire d’impair. Une première séance et j’ai déposé immédiatement ma candidature, description, lettre détaillée pour être à l’époque à sa disposition.
Et ma vie a changé
D’être à sa disposition, je suis passé en appartenance, et en suivi. Et ma détermination à obéir s’est renforcée jusqu’à ce moment, où vous sentez en vous que Maîtresse a la main totalement sur vous, que vous lui appartenez.
Je me sens lui appartenir! C’est un sentiment qui est maintenant ancré en permanence. Que Maîtresse me donne des ordres, ou pas, qu’Elle soit présente ou pas, je ne doute jamais de lui appartenir.
Ce sentiment, c’est ce qui a le plus changé en moi.
Chaque jour, je refais le tatouage de son prénom sur mon pied.
Chaque jour, je porte aussi la cage de chasteté, presque en permanence maintenant (j’exagère, c’est les 3/4 du temps environ). Ce n’était pas gagné d’avance, mais j’ai bien écouté les conseils de Maîtresse, et d’un objet difficile à supporter, c’est devenu une partie de moi. J’aime la porter. J’aime sentir que c’est Maîtresse qui contrôle mon sexe. Je l’ai bien sûr au moment où je vous écris.
Faire de sa frustration une force
Chaque jour, je pense ainsi à Maîtresse Anna et si cela ne la dérange pas, je lui envoie une photo, un message pour déposer des baisers soumis à ses pieds. J’exécute ses ordres quand elle m’en donne et lui fais des comptes-rendus réguliers pour lui faire partager ces moments, comme si elle y était. Et surtout je patiente comme un bon soumis. Je ne la harcèle pas de messages, j’attends qu’Elle soit disponible. Et si Elle n’a pas le temps, et bien, je prends sur moi. C’est Elle la Maîtresse, pas moi. J’ai appris à gérer cette frustration permanente, car oui soumis, c’est être frustré. On en veut toujours plus, et il faut apprendre à canaliser cette envie.
Toute cette frustration, plutôt que de me perdre dans des vexations, ou des ressentiments imbéciles, je l’ai transformé en force. J’utilise tout ce temps pour faire des vidéos, des photos, m’entraîner à être une meilleure sissy, à écrire, à toutes sortes de choses qui sont dédiées à Maîtresse Anna. De ce fait, tous ces moments, je les passe avec Elle, pour Elle.
Je suis passé de soumis voulant être soumis, à soumis prenant du plaisir à satisfaire sa Maîtresse.
Maîtresse a fait aussi de moi une sissy. Je m’étais déjà travesti précédemment. Un peu en séance, et à la maison aussi. Ça m’excitait, j’aimais ça, mais il me manquait un but. Là, en trois ans, je suis devenu d’un homme se travestissant à une sissy avec une garde robe, qui a appris à se maquiller, qui se laisse pousser les ongles, qui se rase et s’épile partout où c’est possible (certains endroits, je ne peux le faire pour ne pas contrarier ma vie vanille), qui a appris à marcher avec des talons, qui prends soin d’Elle, et ça ne vous aura pas échapper, si vous regardez mon Twitter, qui adore s’exhiber. Maîtresse m’a transformé petit à petit, je le dis avec fierté, car j’aime être Sabrina. J’aime cette facette de moi, cette sissy exhib qui aime montrer ses fesses ( jolies n’est ce pas ?) et se lâcher totalement.
Cette partie cachée au fond de moi, Maîtresse l’a vue, l’a développée et a créée et façonnée Sabrina. Je lui en suis éperdument reconnaissante.
Confiance : le maître mot
Ce qui a changé aussi, c’est ma perception des jeux bdsm. Je m’étais cantonné à certaines pratiques, ne voulant surtout pas franchir les tabous que je m’étais fixés. La confiance que j’ai en Maîtresse, sa bienveillance, ses explications m’ont petit à petit fait briser quasiment tous mes tabous. Les seuls qu’ils me restent sont ceux que nous avons en commun. Je suis ouvert à tous les jeux, en fait. Curieux d’expérimenter et de découvrir de nouvelles sensations, et de me laisser porter par les envies de Maîtresse. Récemment, j’ai encore fait une chose que je n’avais jamais faite avant. C’est ce qu’apporte cette appartenance, la confiance totale qui vous permet de vous lâcher. Vous savez tout le pouvoir que Maîtresse a sur vous, mais vous savez qu’elle n’en abusera pas et que si elle vous demande quelque chose, c’est qu’elle juge, qu’elle sait avant vous, que vous pouvez le faire et que vous pourriez y trouver du plaisir. Alors vous vous donnez, presque aveuglément dirais-je.
Soumis dans tous les compartiments de ma vie
Enfin, cette soumission m’a changé dans ma vie de tous les jours. Je suis plus serein, sûr de moi, sûr d’être les deux, homme et sissy. Et même si cette soumission à Maîtresse reste cachée, elle déteint sur ma vie maritale. J’étais déjà pour le partage des tâches ménagères, mais sur la demande de Maîtresse, je suis monté un cran au-dessus. Je m’occupe de tout à la maison, courses, linges, vaisselles, nettoyage divers, etc. Ma femme ne fait que ce qu’elle a envie de faire. Toute tâche qui la rebute, je la prends à mon compte. Je n’élève pas la voix non plus. J’essaie d’être un mari soumis, même si ma femme ne me domine pas.
Je suis devenu soumis dans tous les compartiments de ma vie, avec cette partie exceptionnelle où je suis la sissy de Maîtresse Anna.
Pour réussir à changer autant, il faut une confiance totale en Maîtresse, une complicité aussi, et une terrible envie de lui faire plaisir, qui passe avant toutes mes envies personnelles.
Chaque jour, je remercie Maîtresse Anna de m’avoir acceptée à ses pieds et de cette transformation grâce à Elle et pour Elle, et j’espère pouvoir la satisfaire encore longtemps.
Allez, je vous laisse, j’espère que cela vous aura intéressé, je file m’occuper de mes ongles, je viens d’acheter une brosse et des limes 🙂
A bientôt
Sabrina
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Mes préparatifs avant une séance
Aujourd’hui, c’est une belle journée. J’ai une séance webcam avec Maîtresse.
La séance sera vers 10h30. Mais il me faut une heure, voire une heure et demie pour me préparer.Mise en beauté de la Sissy
D’abord, le matin ! Après la douche, j’en profite pour effectuer un gommage, pour faire un rasage doux, en profondeur. Un coup de tondeuse sur le pubis pour qu’il reste peu fourni. Je vérifie les aisselles, ok.
Enfin, le rasage des tétons et des couilles. Me voilà débroussaillé s’il était nécessaire.
Dès que c’est possible, ensuite, c’est le vernis. Souvent rouge, car j’aime beaucoup. Je commence souvent par les pieds, et les mains suivent dans la foulée.Les accessoires de la Sissy
J’ai oublié d’évoquer la cage, mais elle est déjà en place, bien sûr. Souvent, cela fait plusieurs jours que je la porte, essayant de rester chaste le plus longtemps possible avant les séances.
Je vais maintenant chercher les cartons, la mallette à jouets, et dépose tout dans la pièce.
L’étape suivante, c’est le lavement. Je le fais à chaque fois que Maitresse me l’ordonne, bien sûr, et si j’ai le temps autrement. J’ai un embout que je mets à la douche pour me laver l’intérieur.
Une fois mon anus propre, j’introduis immédiatement un plug de taille M. Il rentre facilement, sans mettre de lubrifiant.Habiller la Sissy
Et maintenant, habillage !
Soit Maîtresse a imposé une tenue, soit je choisi parmi les tenues que j’ai. Il me faut quelques minutes pour choisir, ayant tout sorti des cartons.
Allez, cette fois, j’opte pour une combinaison résille noire, ma petite jupe rouge et mon top noir qui tombe sur les épaules.
Le collier vient s’accrocher autour de mon cou, la médaille bien en place, et j’ajuste la perruque. Je chausse les escarpins noirs, et vais dans la salle de bain pour me maquiller.
Avant je ne faisais que le bas du visage, et portais un masque. Le démaquillage des yeux me les laissait tout rouge. Mais après discussion avec Maîtresse sur le démaquillage, et avec les produits qu’elle m’a conseillé, ça s’est amélioré. Et ça donne tout de suite mieux quand les yeux sont faits.La Sissy est prête, installation de la Play room en cours.
Voilà, Sabrina est prête ! Maintenant, préparation de la salle de bal ☺️
Ha ! J’oubliais. Je sors le plug M et le remplace par la taille au-dessus. Parce que Maîtresse veut qu’il soit bien préparé, et enfin parce que j’adore avoir le cul plein. 🙂
Je déplace le canapé pour faire de la place, et ensuite, je sors tous les jouets.
Godes et plugs d’un côté, accompagnés de tubes de lubrifiant et des poppers. Pinces, roulette, poids, et tout le nécessaire pour le travail des tétons de l’autre. Derrière moi, paddle, cravache, baguette, martinet sont posés contre le canapé. Sur ce dernier, je place la machine électro, les lacets et autres ustensiles. Enfin, je décore le canapé, avec des tenues, robes, jupes et tops pour que cela soit agréable pour Maîtresse au visuel.
Je vérifie… ajoute une serviette pour m’essuyer, une boîte de mouchoirs, et pose une assiette et un verre en cas de besoin.
Maintenant, je dispose le trépied support du téléphone, le positionnant pour que Maîtresse aie une vue d’ensemble et que je puisse m’approcher facilement si elle veut voir en gros plan.
Tout est prêt. Moi aussi. Je me mets sagement à genoux, repeigne ma perruque et attends l’arrivée de Maîtresse.
Le tél sonne, ça y est …. il est l’heure de ma séance.Quand ma séance est terminée
Séance finie ! Épuisée, heureuse d’avoir satisfait Maîtresse, et de m’être dépassée. Je regarde la pièce dévastée, jouets éparpillés, traces de fluides corporels de quelque nature que ce soit un peu partout. Bon, il faut y aller. Je commence déjà par me démaquiller et prendre une douche, avant de tout nettoyer, les jouets sales après leurs passages dans mon intimité ; le sol où se croisent traces d’excréments, de sperme, de sueur, et parfois d’urine. Ensuite, les vêtements sont repliés avant d’être rangés dans les cartons qui eux-mêmes retrouvent rapidement leur place dans l’armoire. Le canapé est remis à sa place, une fois le sol sec. Les jouets dans la mallette qui retourne au grenier.
Voilà, tout est propre, il a fallu presque une heure pour cela.Une séance de 30mn ou plus, c’est entre 2 et 2 heures et demi de préparation, de nettoyage et rangement. Ça me prend la matinée. Mais tout ce temps passé à se préparer et à ranger, c’est du temps que je passe pour Maîtresse Anna, pour qu’elle aie du plaisir à être en séance avec moi, et, si elle a envie de quoi que ce soit, que tous les jouets soient là, prêts à servir selon ses envies.
Et j’adore tous ces moments passés à me préparer, pour Elle.Bises soumises 😘😘😘
Le mot de la Maîtresse « Il y a peu de soumis et de sissy qui prennent autant de temps et de plaisir à effectuer ce rituel de préparation, à mon sens cela sert également de conditionnement avant une séance, cela donne envie de se donner à fond pour sa Maîtresse et stimule la bandinite du cerveau. Bravo Sissy Sabrina pour ce bel article ! »
— Maîtresse Anna
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Être un bon soumis
Être un bon soumis.
Il y a quelques semaines, Maîtresse Anna m’avait demandé de réfléchir et d’écrire ce que je pense être un “bon soumis”.
Pour moi, un bon soumis, c’est quelqu’un qui a atteint un certain niveau de soumission, et qui fait passer les plaisirs de sa Maîtresse avant les siens. Je pense avoir atteint ce niveau.
Mon plaisir est dans sa satisfaction. Je veux qu’à chaque fois que Maîtresse reçoit un message, me contacte, qu’on soit en séance, ce ne soit que plaisir pour Elle. Et je suis heureux quand Elle est satisfaite, qu’Elle me gratifie d’un « tu es ma belle salope », ou autre compliment.
Tout commence par le respect. Une Maîtresse, on la vouvoie, on s’exprime posément, on est courtois, on ne l’insulte jamais, ni ne parle mal. Toujours un bonjour, toujours une formule de politesse.
Un bon soumis, ça ne réclame pas. « Je n’ai pas eu ma dose de cravache », etc.
Un bon soumis s’adapte. Cela parce qu’un bon soumis a lu et compris tout ce qui était écrit sur le blog ou la présentation de la Maîtresse. Il sait ce qu’Elle attend de lui, ce qu’Elle aime pratiquer ou pas.
Et lui, le bon soumis s’est présenté. Il lui a expliqué sa recherche, ses envies, ses limites, pourquoi il l’a contactée, le matériel qu’il a en sa possession, etc.
Quand une Maîtresse est contactée par des dizaines de personnes chaque jour, pour sortir du lot, il faut savoir dire pourquoi on la contacte Elle et pas une autre.
Un bon soumis se donne, et il est content de le faire.
Je fais le don de mon temps, de mon corps, d’une partie de mon argent, de ma virilité à Maîtresse. Elle est la Maîtresse, Elle peut en jouir comme bon lui semble.
Et cela, je peux le faire car j’ai une TOTALE confiance en Elle. C’est le point le plus important, je pense. La confiance ! Elle connait mon nom, mon adresse, ma vie, mes envies, mes limites, tout de moi. Il faut avoir une totale confiance pour se livrer complètement.
Et je fais tout pour qu’Elle aie confiance en moi.
Si je reçois des ordres, je les exécute, je fais des photos, des vidéos pour lui montrer, pour partager avec Elle ce suivi. Pour moi, c’est très important que Maîtresse profite autant que moi des ordres qu’Elle me donne. Et si je n’ai pas pu exécuter les ordres, je lui dis. Pour un autre point important : l’honnêteté.
Je suis honnête, je ne mens pas pour éviter une punition ou pour en recevoir une. Pas de jeu malsain qui détruit la confiance.
Mais quand on est un bon soumis, on ne recherche pas les punitions. Comme dit plus haut, on cherche d’abord à faire plaisir à sa Maîtresse et donc à obéir le plus possible à ses désirs.
Un bon soumis s’adapte aussi aux disponibilités de sa Maîtresse. Il ne la dérange pas pour tout et rien en permanence. Si 10 soumis font cela, ça devient vite invivable ! Même s’il a fait une offrande, il faut apprendre l’humilité, et ne pas se comporter en client.
S’adapter, c’est profiter des moments où sa Maîtresse est disponible pour soi. On ne rechigne pas parce que la séance est pendant un match important du foot ou autre broutille. Il faut savoir ce que l’on veut. Être soumis, ce n’est pas quand je veux et comme je veux. C’est quand Elle le désire et comme Elle le désire.
Où sont les priorités ? Qu’est-ce que je fais passer en premier dans ma vie ? Qu’est ce qui est plus important que servir sa Maîtresse ? À chacun de trouver où placer le curseur.
Un bon soumis sait la chance qu’il a qu’une Maîtresse lui ait donné sa confiance et s’occupe de lui. On est des milliers à vouloir être soumis, et il y a peu de dominatrices d’exception, de vraies dominatrices qui te font grandir en tant que soumis quand tu leur appartiens. Celles qui ne sont pas juste à te dire de raquer en permanence.
Quand tu es accepté, que tu as bien mesuré la chance que tu as, tu fais tout pour toujours rester aux pieds de ta Maîtresse.
Une Maîtresse reçoit des sollicitations permanentes de soumis ou sissy. Tous ne seront pas ses bons soumis mais dans le lot, il y en a quelques-uns qui mériteraient aussi ta place. Alors, savoure, et sois à l’écoute de ta Maîtresse, pour toujours LA satisfaire.
